The Celtic Social Club

Tournée

Aucune date prévue

À propos

En sept années d'existence, THE CELTIC SOCIAL CLUB a réussi à imposer un son, un style et un nom. Avec aujourd'hui quatre albums studio et deux live au compteur, sillonnant scènes, festivals et continents, les sept franco-irlandais continuent d'affiner leur relecture élégante et audacieuse de la tradition des musiques celtes, secouée à grands coups d'énergie rock, d'harmonie pop et de mélodie folk.

Sacré parcours pour ce groupe qui ne devait être, en juillet 2014, qu'un one-shot en création au festival des Vieilles Charrues… L'énergie, l'envie et la fraîcheur auront donc été les plus forts pour cette réunion de baroudeurs, rassemblés autour d'un nom, THE CELTIC SOCIAL CLUB, et d'un programme artistique simple : faire avancer les musiques traditionnelles celtes (Bretagne, Irlande, Écosse, Asturie) en les frottant au rock, à la pop, au folk et au groove.

Organisé comme un véritable commando scénique, le collectif joue beaucoup en Europe, s'envole pour l'Asie, puis les États-Unis, avec notamment une date emblématique à Central Park, NYC. Puis se lance à la conquête du Royaume-Uni, pourtant peu enclin à l'indulgence auprès des groupes « frenchy ». Si les Pogues et les Clash ont souvent été cités pour tenter de résumer ce « mash-up » musical énergique et ambitieux, le groupe a peu à peu trouvé ses marques et sa stabilité, aux points de rendre aujourd'hui caduque références et comparaisons.

Avec leur quatrième album, DANCING OR DYING ? sortie le 8 octobre 2021, adossé à la voix exceptionnelle de leur chanteur irlandais, Dan Donnelly, Manu Masko, Ronan Le Bars, Goulven Hamel, Pierre Stephan, Mathieu Péqueriau et Richard Puaud ont de l'ambition à revendre. Et un redoutable engagement scénique pour faire valoir leur position de challenger !

Les faits Marquants

2014

One-shot and shoot again

En juillet 2014, devant les 50 000 spectateurs rassemblés au festival des Vieilles Charrues, THE CELTIC SOCIAL CLUB donne son premier concert. Ce one-shot imaginé et drivé par Manu Masko (batterie), accompagné d'un premier album groovy et prometteur, décide le collectif de baroudeurs à poursuivre l'aventure. Après un disque live acoustique enregistré à New-York, le soutien de France Inter et quelques belles dates européennes, Jean-Pierre Riou (Red Cardell) quitte le groupe, remplacé par le guitariste de rock Goulven Hamel, qui rejoint donc en janvier 2016, Jimmy O'Neill (chant, guitare), Ronan Le Bars (uilleann pipe, low whistle), Pierre Stephan (violon) Richard Puaud (basse) et Mathieu Péquériau (harmonica, washboard).

2016

Freedom and world music

Tout en continuant son travail en France, le groupe s'envole pour des festivals « world music » en Chine, en Turquie, en Algérie, en Suisse… Il enregistre son deuxième album studio, A NEW KIND OF FREEDOM, affirmant, dés la pochette, son nouveau statut de « band ». Le son s'est resserré, plus électrique, plus pop, plus rock. Faada Freddy y est invité le temps d'un single de Noël. Pendant cette longue tournée, le groupe est parfois rejoint en scène par des musiciens algériens, chinois et nord-américains, s'incluant dans l'ouverture musicale du grand concert planétaire des musiques du monde. Après des concerts dans le nord des États-Unis, le NKOF TOUR culmine en septembre 2016 par une date emblématique à Central Park, pour les vingt-cinq ans de leurs parrains des Vieilles Charrues, à New-York. Europe 1 les découvre à cette occasion et ne les lâchera plus, tout comme le magazine Rolling Stone… Frontman du groupe depuis sa création, l'écossais Jimme O'Neill (The Silencers) est remercié et remplacé un temps par Martin Kelly, autre chanteur de Glasgow installé, lui, à Berlin.

2019

En route pour Avalon

Dan Donnelly, chanteur et guitariste irlandais de Belfast, installé à New-york, puis à Newcastle, rejoint le groupe en cours d'écriture de leur troisième album, FROM BABYLON TO AVALON. Autour de son timbre d'exception, le groupe, enfin stabilisé, assume pleinement son ouverture pop-rock et son attachement à un songwriting pointilleux. Les Futureheads les rejoigne aux chœurs sur une relecture poignante du classique « Black is the color ». Alors que le groupe tourne en France, Belgique, Espagne et Tchéquie, le single « Remember Joe Strummer » s'invite sur les ondes de la BBC. Adoubé par l'emblématique journaliste Janice Long et la Joe Strummer Foundation, THE CELTIC SOCIAL CLUB se lance à l'assaut du Royaume-Uni, avec quelques dates en Écosse, dans le nord de l'Angleterre, au mythique « 100 Club » de Londres et au festival Beautiful Days. L'aventure est saluée d'une pleine page dans Paris Match… Un accueil britannique plus qu'enthousiaste qui provoque la sortie de l'album, en septembre 2019, sur le label Londonien Kitchen Disco Records, dans une « UK version » augmentée.

2020

Dancing or dying ?

En mars 2020, fauché comme tant d'autres, en plein milieu de leur tournée, THE CELTIC SOCIAL CLUB se jette sur l'écriture et l'enregistrement de nouveaux titres qui deviendront leur quatrième album, DANCING OR DYING ? Conjurant cette longue année « lockdown », toujours profondément ancré dans la tradition des musiques celtes, le groupe s'ouvre à des parfums Beatles, rock héroïque, new-wave. Si le disque résonne d'un rock adulte, le groupe reste profondément juvénile, débordant d'énergie, d'inspiration et de fraîcheur. Pour la première fois, un de leur album studio sort simultanément en France, Angleterre, Irlande, Écosse, Pays-Bas, Belgique… Le gang franco-irlandais continue de sauter par dessus les frontières et les catégories musicales pour délivrer ses concerts radieux et incendiaires !