Electric Pyramid respire la liberté des années 70, comme si son chanteur, guitare à la main, cheveux longs, veste en cuir et pantalon scintillant, était parti un jour sur les routes des États-Unis à la recherche de compagnons pour former un groupe de rock qui sent bon les vibes hippie.
Sauf que dès les premières notes, on comprend qu’Electric Pyramid n’est pas l’un de ces groupes de nostalgiques. Et même s’ils empruntent à des légendes comme Nirvana, Foo Fighters ou Pearl Jam, leur son est résolument moderne, avec une ambition affichée : remettre au goût du jour les doubles guitares, les gros riffs percutants et les rythmes démoniaques qui ont propulsé le rock sur le devant de la scène il y a 50 ans.
Et pour cela, les cinq compères ne sont pas nés de la dernière pluie. Avant de se rencontrer et de s’installer à Londres, chacun avait fait son petit bout de chemin, croisant déjà la route de grands noms. Coldplay, Joe Bonamassa ou Nelly Furtado, voici un petit panel des artistes que ces musiciens ont côtoyé avant d’entamer leur vie commune. Et s’ils ont eu des influences diverses, ils savent exactement où ils veulent aller, avec une recette qui fait déjà ses preuves. Ce sera un rock d’anthologie, sauce excellence, qui flirte parfois avec ce feel good que procure toujours un bon vieil americana.
Pas de chichi dans leur musique, pas d’effet, pas de synthé, comme le dit si bien RollingStone « le son est brut… addictif. Du pur plaisir ». Un rock authentique où les guitares sont héroïnes et où la voix rauque du chanteur embarque dans une chevauchée soutenue par une batterie trépidante. Dans un monde où tout devient électronique, Electric Pyramid branche la prise sans autre fioriture et nous plonge dans ses émotions pures.
Enfin ! Cinq ans après leur formation et quelques singles qui ont atteint les plateformes de streaming et les oreilles des critiques, Electric Pyramid sort son premier album éponyme. Produit par John Cornfield qui, en ayant accompagné Muse, Oasis ou Robert Plant, sait de quoi il parle, le disque est un bijou de gros son organique. La même année, le groupe part en tournée mondiale dont trois dates en France. Et si les concerts sont encore intimistes, les reviews dithyrambiques, elles, donnent une idée des sommets que ce groupe pourrait bien atteindre.
Enfin ! Cinq ans après leur formation et quelques singles qui ont atteint les plateformes de streaming et les oreilles des critiques, Electric Pyramid sort son premier album éponyme. Produit par John Cornfield qui, en ayant accompagné Muse, Oasis ou Robert Plant, sait de quoi il parle, le disque est un bijou de gros son organique. La même année, le groupe part en tournée mondiale dont trois dates en France. Et si les concerts sont encore intimistes, les reviews dithyrambiques, elles, donnent une idée des sommets que ce groupe pourrait bien atteindre.